Joel DAYLOR

Le pays roi de la danse est... La France ! (enquête de P.M. 2009)

Les organisateurs et animateurs avertis reconnaissent que pour réussir ces rendez-vous dansants, il faut satisfaire tout le public présent.
Aussi, lors d'une soirée, j'invite les danseurs à me faire part de leurs désirs, afin de leur faire plaisir en jouant leurs danses préférées.
L'évidence est qu'actuellement la base habituelle (Disco, Paso, Tango, Valse, Slow, Rock, Twist, Madison, Biguine) ne suffit plus.
Voici quelques exemples, dans l'année, qui le démontrent :

  • A Meschers, des couples ont demandé une Marche, une Scottish, , une Polka, un Baïon, j'ai joué et ils ont dansé leur programme.
  • Au Fouilloux : Séga (présence réunionnaise), Salsa, Electro, Dance, Boogie.
  • A Boscamnant : Funk, Techno, Valse Viennoise, raspa, Country.
  • A Berneuil : Jerk, Rockabilly, Soul, House, Calypso.
  • A Sainte Sévère : Hip-Hop, Groove, R'n'B, Hard, Gypsy.
  • A Royan : Swing, Cha-Cha, Samba, Boston, Mambo.
  • A Bazas : Paquito, Makina, Tarentelle, Pop.
  • A Montlieu : New wave, Ska, Reggae, Celtique.
  • A St Martin d'Ary : Boléro, Bossa nova, Zouk, Gigue.
  • A Lorignac : Rumba, Fox-trot, <Sirtaki basque, Charleston, Java, avec en cours de soirée la remarque du président du comité des fêtes : « Animateur de bals, c'est un vrai métier ».

Ce métier c'est celui de musicien, chef d'orchestre et D.J. Pendant 40 années... à faire danser.
Je profite de ce savoir pour partager frissons et émotions sur les meilleurs arangements, et les plus belles mélodies et interprétations.

Conclusion : Prendre trois minutes (durée moyenne d'un morceau), sur six heures minimum de musique par séance, cela permet de combler une clientèle qui est ou qui deviendra fidèle.